jeudi 13 juillet 2017

Rene-Jean Bienvenu : ses impressions de retour à Vouvray

Il est rentré lundi soir, tard, comme les Vouvrillons qui avaient fait le déplacement jusqu'à Randerscker pour les 25 ans du jumelage. Mais, il ne s'était pas encore vraiment posé chez lui, depuis. En cette veille de 14 juillet, j'ai revu ce matin René-Jean pour évoquer les moments marquants de sa marche de 900 km.

Un véritable exploit qui a suscité l'admiration de nombreuses personnes.

D'abord, il tient à remercier les gens de Randersacker, en particulier l'ancien maire Matthias Henneberger. Il a séjourné avec sa compagne chez les parents de ce dernier.



René-Jean a aussi passé un très bon moment chez la famille Göbel, des viticulteurs (père et fils) dont les produits ont décoché bien des médailles. Il y avait séjourné avec son père il y a 26 ans.

Les retrouvailles avec les habitants de Vouvray ? Lors de l'arrivée de la délégation, le 7 juillet à Randersacker, René-Jean Bienvenu a reçu beaucoup de messages de félicitations. Auparavant, il avait eu aussi plusieurs fois des échanges téléphoniques avec Catherine Jarry, la Présidente du comité de jumelage. Sur Facebook, des personnes le suivaient tous les jours ou régulièrement. Parmi elles, l'ancien maire de Vouvray Pierre Darragon, mais aussi Nathalie Même et Roselyne Boisaubert pour la majorité municipale, Hervé Pouperon pour l'opposition. Côté allemand, Matthias Henneberger était un fan, de même que Peter Janka et un certain Walter Pytik.

La marche a permis de se faire de nouveaux amis (Cocorinne Allemand et Cheyenne Ponpon* à Courtenay par exemple), avec des rencontres sur le chemin. "Des rencontres superbes, et un accueil chaleureux".

Il y a tant de souvenirs que notre marcheur va se dépêcher de transférer toutes ses photos et ses vidéos.

Dans les bons souvenirs : René-Jean cite notamment le passage à Troyes, la solidarité entre compagnons, la visite de musées et la beauté des paysages traversés, sans oublier l'aide précieuse qu'il a eue pour l'hébergement (chez l'habitant, dans une mairie, une grange et des centres équestres).


Dans les mauvais souvenirs, il y a bien sûr la panne de chariot. En raison d'une roue défectueuse, il a fallu rafistoler l'engin, puis s'en séparer. Des personnes de Randersacker sont venues le chercher à la frontière pour libérer René-Jean de ce poids. La canicule ? Pas vraiment, car il avait l'habitude de la chaleur au-dessus des fourneaux. Les chemins plus vallonés en Allemagne ? Oui, un peu. Et puis, il y a eu une chute. René-Jean est tombé en sortant d'une pharmacie la veille de son arrivée à Randersacker ! Rien de très grave, mais il s'est égratigné le coude et a déchiré son pantalon.

Mais, il est bien arrivé et bien rentré. Et l'activité physique va reprendre, car l'herbe a poussé en son absence. Pas de problème, il est en pleine forme.

  *Pseudos Facebook

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire