Un premier exemple me vient à l'esprit avec l'éclairage. Plutôt que de couper la lumière de façon brutale, à partir de 23 h, pourquoi ne pas opter pour un système de lampadaires à LED intelligents, reliés à un système qui fait varier l'intensité en fonction de l'heure (22 h à 5 h par exemple).
On peut revoir ici le reportage dans le JT de 13 h sur France 2 du 30 novembre.
Et il y a encore mieux, quand le lampadaire est muni d'un détecteur de présence, il ne s'allume que quand on en a besoin.
Pour le transport, on pourrait proposer un véhicule électrique en autopartage. Dans la mesure où une borne existe dans la rue du marché, avec deux places de stationnement ad hoc, la question ne se pose pas pour la recharge. Il existe aujourd'hui un modèle électrique à 7 places, avec le Nissan e-NV200 Evalia. Un véhicule qui pourrait faire du transport de groupe, par exemple pour véhiculer des touristes, ou pour assurer le déplacement de personnes âgées. C'est toujours mieux qu'un minibus diesel. Son autonomie est de 170 km (selon le cycle NEDC).
Un opérateur pourrait aussi avoir l'idée de proposer un véhicule électrique dédié aux balades dans les vignes. A Paris, une association (4 roues sous un parapluie) a électrifié une 2 CV pour concilier tradition et modernité auprès des touristes. Elle sera visible à partir de vendredi au Grand Palais, dans le cadre de l'expo Solutions COP21.
Je dois justement me rendre à Paris cette semaine, afin d'aller voir au Bourget dans la capitale quelques solutions innovantes pour le climat (dont je parlerai naturellement sur France Bleu).
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