j'ai reçu dans ma boîte aux lettres le dernier numéro de Vouvray Terre d'@venir, l'association regroupant notamment des élus de l'opposition municipale. Ce bulletin de 4 pages passe en revue plusieurs sujets, dont des projets qui ont donné lieu à des débats lors des conseils en mairie de Vouvray.
Ainsi, il est question en une de l'espace de vie sociale. L'opposition évoque "une méthode brouillonne" à propos de cet espace, qui sera regroupé dans un bâtiment communal avec la bibliothèque, à côté du futur multi-accueil. La lettre écrit que les crédits ont été votés avant que le projet ne soit présenté en commission. Elle s'interroge aussi sur l'étude qui a été faite auprès de "certaines associations et certains Vouvrillons" pour connaître leurs attentes, alors que les crédits avaient déjà été votés en totalité. L'opposition a le sentiment "qu'on justifie l'EVS a posteriori". Elle estime que la salle Val Es Fleurs joue déjà ce rôle d'espace de vie sociale.
Si l'on met de côté la taxe d'habitation sur les logements vacants, qui est présentée comme "un choix de précipitation" (la commune a souhaité l'instaurer, avant que la futur EPCI regroupant la CCV et l'Est Tourangeau ne se décide à le faire), le second sujet majeur est celui de la future gendarmerie. Vouvray Terre d'@venir revient sur le projet qui consiste à implanter la caserne dans une parcelle de l'AOC. Un dossier qui a donné lieu à de vifs débats, en particulier avec les viticulteurs. La lettre suggère à la municipalité de faire preuve de "sagesse" et de "réflexion". Elle invite aussi à considérer une implantation hors de la zone viticole, située plus au nord et directement relié au à un rond-point.
Il est question enfin de risques majeurs. Alors que la montée des eaux a conduit à évacuer le camping municipal, il y a quelques mois, la lettre de l'opposition s'étonne que la mairie n'ait pas encore publié le DICRIM (Document d'Information Communal sur les Risques Majeurs). Un document considéré comme "essentiel à la sécurité des Vouvrillons".
L'opposition souhaite apporter "un autre éclairage" et avec des articles "solidement étayés". C'est aux habitants de se faire leur propre idée.
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