mercredi 1 mars 2017

Office de tourisme : les chiffres à retenir

En raison des débats qui ont tourné autour de la fusion des offices de Montlouis et Vouvray et de la taxe de séjour, l'AG qui s'est tenue mardi n'a pas permis vraiment d'évoquer les chiffres. Voici donc quelques données que l'on peut porter à l'attention du public.

L'office de tourisme au Pays du Vouvray, qui a ouvert 289 jours et 13 demi-journées en 2016, a traité en 2016 plus de 3 800 demandes touristiques, recevant en parallèle plus de 18 000 visites sur son site Internet. Les demandes ont concerné à 76 % une clientèle française, les 24 % de touristes étrangers étant principalement des anglais, des belges et des néerlandais. La saison a été sensiblement identique à celle de l'année d'avant, malgré les attentats et la météo.


Les touristes recherchent en priorité les visites de caves et les dégustations, la découverte du patrimoine, les circuits de randonnée à vélo ou à pied, des hébergements et des activités sportives.

 Au niveau des adhérents, l'office compte 120 inscrits. Les hébergeurs forment le plus gros du contingent, suivis par les vignerons et les artisans/commerçants.

L'AG a été l'occasion de revenir sur les animations (rallye Des pierres et des Vignes, événement DiVINes & SENS, visites guidées avec Pays Loire Touraine) et d'autres réalisations comme un guide touristique édité à 5000 exemplaires. L'office de Vouvray a également participé à une application sur smartphone, réalisée en commun avec 4 autres offices. Elle a aussi organisé la 1ère rencontre des acteurs du tourisme du Vouvrillon. Une manifestation organisée sous la forme d'un speed dating, qui a été très appréciée par les participants. Elle a permis à des prestataires de faire connaissance et de créer ainsi un réseau.

Et pour 2017 ? C'est une année de transition avec la fusion, sachant que la subvention que versait jusqu'à présent la CCV sera prise en charge par Touraine-Est Vallées. Ce qui est certain, c'est que l'office de Vouvray n'a pas souhaité reconduire le label Vignoble & Découvertes, en raison d'un montant jugé trop élevé pour la réalisation d'outils numériques. Une décision prise par d'autres offices, dont celui de Chenonceau.


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